IDENTITÉ
|
Claudie
LENZI |
Poète et
artiste plasticienne |
Vit et
travaille entre Marseille et Barjols |
Atelier :
Friches Les
Anciennes Tanneries
185 rue des
Tanneurs
83670 Barjols - Var - France
Portable : 06 72 35 66 73
Tél : 04 94 72 54 81
|
e-mail :
claudie.lenzi@wanadoo.fr |
BIO
Vit et travaille dans une friche « les anciennes tanneries » à Barjols, Var, France Diplômée de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Marseille, Claudie Lenzi se définit comme une poète et artiste « *otorigène. »
Claudie Lenzi construit une œuvre poétique qui interroge le langage, ou comment le langage se trouve revisité et renforcé par une proposition artistique et inversement.
Elle conçoit ses œuvres à la croisée des poésies et des arts plastiques, dans un entre-deux qu’elle revendique.
En artiste multimédia, Claudie Lenzi écrit, publie, lit, performe, imprime, dessine, note sur des carnets, photographie, moule, fabrique, assemble et installe. Elle confronte et combine différents types d’expressions : installations sonores et visuelles, écritures de ses textes qu’elle met en espace au cours de performances souvent appareillées.
Le dialogue que Claudie Lenzi instaure entre les mots, les images et les matériaux interroge le corps dans ses fonctions sensorielles et leurs rapports à l’écoute, à la peau, à la bouche soumises à une altération, à un handicap de perception, soulignant les difficultés rencontrées chez un être qui vit et qui dit et qu’elle nomme « les Minorités Silencieuses ».
Navigant ainsi de l’intime au social, son travail nous révèle une poésie de l’histoire vécue et racontée.
Depuis 2005, Claudie Lenzi photographie et collectionne les images d’oreilles des poètes qu’elle croise. Elle réalise, depuis 2007, Les Signalisa(c)tions ou actions participatives et solitaires dans l'espace public sur la signalisation et signalétique routière et urbaine qu'elle réinvestit et détourne au profit de la représentation de la femme dans son combat pour le droit à la parole et à l'écoute. « S’exprimer coûte que coûte quel que soit le lieu même si pour se faire entendre il faut souvent choisir des chemins détournés. » (C. Lenzi)
Cofonde le festival Les Eauditives avec Éric Blanco (festival Poésies Arts et Patrimoine)
*Otorigène : terme inventé par l'artiste. D'oto (oreille, de rire et de gène (unité responsable d'hérédité sur un chromosome) provoquant de la gêne L'Otorigène a hérité d'une écoute défaillante qui la confronte d'une manière permanente à l'altération et à la perte, qui sont les caractéristiques de cette déficience. Le dérapage et la perte du son engendrent des glissements de sens et génèrent de l'incertitude dans la perception lui faisant mesurer tout le côté arbitraire du langage. Il s'agit alors de réinterpréter pour compenser et rétablir du sens. Se réinventer pour intégrer cette différence et la positiver. Pour elle, exister, c'est résister.
À travers ses textes, ses installations ou ses performances, Claudie Lenzi affirme son tourment quant à l'état perpétuel de mutation et d'altération de notre monde. Devant son travail le spectateur ou le lecteur croit que tout peut être lu ou englobé d'un seul regard mais il ne voit pas tout de suite. Claudie Lenzi lui suggère alors de se pencher et de manipuler pour voir ou pour lire, à l'intérieur des pages, des boites ou dans la profondeur des miroirs et des matières moulées, les pensées qui s'y cachent... M.A. Marchetti
(…) Claudie Lenzi poursuit son cycle de réflexion et de création sur le langage dans lequel l'écrit et le son font écho aux sensations fortes qu'elle nous donne à voir et à entendre. (…) Claudie Lenzi construit des mécanismes complexes, absurdes, parfois "orthopédiques", qui interrogent des territoires où se cache une souffrance sociale. Chez Claudie Lenzi, ces actes de générosité sous-tendent en permanence la réalisation de ses œuvres.
Raoul HÉBRÉARD
Claudie Lenzi brise ses tympans pour inventer de nouveaux tambours dans le monde. Elle entend ce que nous n'entendons pas et nous attendons son oreille. Nous la conjuguons. Nous la récitons. Son oreille est un œil parce que son œil est une voix. Claudie Lenzi a des oreilles au bout de ses mains…
Serge PEY (édito du catalogue Vis ta Mine ! Musée des Gueules Rouges, Tourves)
DÉMARCHE
MOUVEMENTS
Le mouvement, c’est la manifestation du temps qui passe, qui trace et qui use.
Pour convertir mes préoccupations sensorielles (glissements, altération perte…), il me fallait introduire la notion de mouvement dans mon travail.
J’affectionne depuis toujours les mouvements immobiles et figurés qui sont la série et la déclinaison. Et ce que je nomme « les techniques plastiques du différé », celles dont le résultat final se répète et ne se découvre qu’après comme le moulage et l’estampe.
Puis, il était évident de travailler avec le mouvement réel afin de montrer l’évolution incessante et changeante du langage. Montrer une temporalité malmenée, déstructurée qui se déroule et se restructure par les arts et la poésie grâce à la motricité.
MACHINES à LIRE ET BOÎTES à SAUSSURE Je fabrique des Machines à Lire et des Boîtes à Saussure, sortes d’objets où matière, forme, taille, mouvement et mot s’imbriquent pour former un tout. Elles sont animées par du mouvement manuel, électrique ou horloger qui permettent aux syllabogrammes perdus d’un mot de se reconstruire grâce au mouvement de la machine ou au geste de la personne qui manipule la boîte. Mots, objets, matières se conjuguent à tous les temps des arts et de la poésie. Je découpe du métal, je moule, j’imprime, je construis, je grave, j’estampe, j’assemble pour inscrire des fragments de paroles perdues dans mes œuvres. Les mots m’aident à créer mon propre langage. Je leur fais subir des opérations de tronçonnages de découpages et de réconciliation pour qu’ils se révèlent en métaphores visuelles, métonymies en 3 D, syllabogrammes séquentiels, en polysémies multiples, en anaphores entêtées, homophonies dévoilées et expressions populaires détournées… Le sens véhiculé par les Machines à Lire n’est plus univoque ou définitif. Il devient arbitraire et incertain.
MOULAGES
L’oreille est avant tout un moule en temps réel, car capter le son, c’est aussi essayer de récupérer l’empreinte de l’air (Gilbert Simondon).
Claudie Lenzi tente d’allier la production en série avec l’idée d’exemplaire unique pour chaque pièce qu’elle produit. La production de ses objets moulés dans le contexte contemporain soulève une interrogation sur la trace humaine et le caractère unique de ses créations. « (…) J'entretiens un rapport sensoriel, physiologique avec le moulage. Si je perçois et entend, c’est uniquement grâce à un moulage dans mon oreille : le moulage de mon conduit auditif qui me relie à l’ampli et au haut-parleur.
Quand on réalise un moulage, il y a toujours cette part d’incertitude quant à la découverte du résultat après démoulage, à l’instar des techniques d’impression (estampe, gravure, monotype).Aussi, le moulage rend compte, à sa manière, des incertitudes que l’on ressent lors d’une écoute défaillante, quand on perçoit et qu’on reçoit avec un temps de retard.
Mes moulages ne sont plus présentés en référence au modèle original mais comme des originaux à part entière, chacun avec sa propre histoire. Tou(te)s mêmes et pourtant si différent(e)s… sont les pièces obtenues à partir d’un même moule, grâce aux ajouts d’éléments, de suppressions de la matière ou d’accidents.Ma matière de prédilection reste la cire. La cire comme un des premiers supports de l’écriture mais aussi métaphore de notre relation au corps intime : l’oreille et son cérumen et la peau et son derme par l’épilation du système pileux. La cire, toujours, comme métonymie de l’écoute et du son autrefois enregistré sur des matrices en cire pour le moulage des disques et microsillon. »
PHOTOGRAPHIES
J’ai quitté mon vieil appareil photo et continue aujourd’hui à engranger des images sur mon portable.
Mon travail photographique, toujours de grand format, privilégie la série et les thèmes récurrents de mon travail plastique : le corps, l’écoute et les oreilles, la bouche… Tous ces éléments sont mis en scène, puis en page au sein de photomontages que j’agrandis comme amplifiés par un trop plein de volume. Telle la série Les Auditives, avec les Otorigènes… Il y a aussi la collection d’oreilles de poètes, les Otoportraits, que j’ai commencée en 2005 et qui comporte aujourd’hui plus de 200 oreilles/feuilles de poètes rencontré(e)s au cours de mes passages dans les festivals et expositions. Ils sont présentés sur des bâches géantes dans le style trombinoscope ou en ligne, imprimés sur une longue bande de calque.
L’autre thème que j’aime photographier, ce sont les objets et choses qui s’altèrent avec le temps. La prise de vue se fait en temps réel et à plusieurs stades de l’altération de l’objet pour témoigner du temps qui passe et qui dégrade les Vanités, Peeling du moi(s) …
Et enfin, les photos témoins, prises dans l’espace public sur les écritures urbaines que je détourne (panneaux de signalisation routière…), ou d’autres qui mémorisent toutes mes actions de rues performatives.
VIDÉOS
Les vidéos reprennent les problématiques et thèmes inhérents à mon travail. Elles inscrivent le temps réel dans l’image animée. C’est souvent tourné-monté, en plan séquence ou quelquefois monté et sonorisé 14 Carbones, Portable de chevet, Pa(e)nser la paix …
SONS
Le son est souvent présent dans certains de mes projets. En amont, munie d’un enregistreur de poche, je privilégie les prises de son en contact direct avec la rue et les passant(e)s sous forme de questions-réponses dont la finalisation en bande son devient moteur ou complémentaire à un travail plastique. Le son ainsi inséré dans les œuvres créé des passerelles entre sonore et plastique.
CARNETS de ROUTE
Dans mes carnets, je consigne mots, phrases, réflexions, impressions fugitives, croquis sur le vif, ébauches, collages. Le carnet c’est l’archivage et la mémoire du projet en cours. Il m’accompagne partout où je vais.
DESSINS
Mes dessins sont souvent au feutre, très libérateurs, en contre point du travail d’atelier qui se construit laborieusement.
Série Les Otographes : les Otographes sont des personnages asexué(e)s, aux oreilles démesurées, nu(e)s mais toujours chaussé(e)s et qui évoluent au sein de décors anatomiques et mécaniques.
Les Otographes sont des apologies des mécanismes qui régissent notre corps et plus précisément, nos fonctions sensorielles. L’écoute et l’émission de la parole relèvent d’une suite d’opérations mécaniques et physiologiques très complexes. Ce qui paraît d’emblée, acquis et naturel, comme avaler, entendre, parler… se trouve généré par un laborieux travail de l’ordre de l’invisible.
Ces dessins sont réalisés au trait et feutres ou mine de plomb sur papiers Rives ou recyclés. Certains sont de très grands formats : 2,16m x 1,26m,, les autres de 24 cm x 32 cm, et les plus petits de 14 cm x 21 cm et 11 cm x 17 cm
LIVRES D’ARTISTE
De petites tailles, ils sont souvent complémentaires aux pièces exposées et privilégient les dialogues entre fond scriptural et forme plastique. Je les fabrique souvent en papier mais également avec des matières et des matériaux, en résonance avec mon travail plastique (plâtre, cire, métal…). Ces livres peuvent être aussi parfaitement autonomes, chacun avec sa propre histoire et présenté en tant que tel.
Ils se distinguent en 2 catégories
- Les Livres-Objets
Ces petits livres objets se tiennent dans la main et le mouvement est celui que fait le lecteur pour les ouvrir, les dérouler, les déplier… Les pages ne se feuillètent pas. Elles coulissent, glissent, se recouvrent, se déplient, s’enroulent telle la linéarité successive d’une parole qui ferait face à la simultanéité d’une page figée :Tracas Traces, Clavier de poche, 14 Carbones …
- Les Livres d’Heures
De petites taille, les Livres d’Heures sont posés ou muraux. Ces derniers sont animés par un temps réel qu’est le mouvement horloger. Ce sont des sortes d’horloges qui n’indiquent plus les heures mais l’image, le mot, le travail et le temps en train de se conjuguer et de s’accomplir. Ce mouvement en temps réel fait mesurer le temps qui passe. Le lecteur regarde alors ces pages qui tournent inlassablement. Un peu à l’instar des Machines à Lire, en modèle réduit, on assiste à une matérialisation du langage par la matière et le mouvement qui actionne des fragments de poèmes insérés dans chaque Livre d’Heure.
Le mouvement permet de changer l’image en une autre, le mot en un autre, et nous fait mesurer le coté arbitraire des choses vues et entendues. Mots et images apparaissent au gré du mouvement lancinant de la rotation, puis disparaissent en se recouvrant. Tout s’actionne à la manière d’une mémoire vivante fonctionnant dans un travail de stockage.
Ces Livres d’heures sont présentés souvent en série, mais, à bien regarder, est-ce plusieurs livres de chacun une page ou bien un livre de plusieurs pages autonomes, livrées à leur propre existence dans le sans fin du mouvement tournant ? Ritournelle, Heures sup’, Sorties d’usine…
L’INTERACTIVITÉ
La relation à l’autre se fait par mes œuvres interactives, telles des interfaces entre moi et le regardeur. Dans mes installations, je cherche à établir un partage, une communication.
Mon travail a lieu souvent sur le terrain, il est participatif, à dimension humaine en ancrage direct avec le présent, le passant et le territoire.
PARCOURS Synthétique
- Depuis les années fin 80, elle écrit, publie, performe, organise et expose en France et à l'étranger.
- Nombreuses expositions et commissariats d’exposition dans les musées, les lieux d'art, les friches industrielles, les médiathèques.
- Nombreuses lectures et performances dans l’espace public, les musées, et dans le cadre d'expositions et de festivals internationaux de poésies (Voix Vives, Sète - Voix Vives Genova- Expoésie, Périgueux - Les Perforeilles, Toulouse, Gratte-monde, Grenoble, Midi/minuit, Nantes – Inter Le Lieu, Québec - Pérégrinations Poétiques, Maison de la Poésie Trans-Jurassienne…
- Nombreuses publications en recueils, anthologies, catalogues et revues : Action poétique, CCP (Cahiers Critique de Poésies) par le cipM, Cahiers du CipM, Dock(s), Ouste…éditions Plaine Page, Lanskine…
- Bourse d'écriture du CNL pour son recueil Les Auditives publié chez Fidel Anthelme X.
- Cofonde en 1994, avec Éric Blanco, les éditions Plaine Page et la ZIP (Zone d’Intérêt Poétique), lieu de promotion et de diffusion des poésies et arts contemporains dans tous leurs états (résidences d’auteur(e)s, éditions, manifestations littéraires, festival Les Eauditives, expositions d’arts visuels, ateliers d’écriture et de pratiques artistiques à destination de tout public (milieu hospitalier, établissements spécialisés, maisons d’arrêt, et en milieu scolaire (agrément DRAC PACA et Éducation Nationale). www.plainepage.com
QUELQUES DATES
1980 à 1988 Se consacre pleinement à l’escalade et à la haute montagne tout en écrivant et dessinant sur des carnets l'association. |
1993 Cofonde l'association Le Signal Curieux, structure passerelle entre Poésies et Vidéographies, avec le soutien du Conseil Général 13. |
Depuis 1993, Intervenante D.R.A.C., dans le cadre d’ateliers de pratique artistique à destination d’un public scolaire. Reçoit les soutiens du Ministère de la Culture et de la Francophonie D.R.A.C. P.A.C.A., du Ministère de l’Éducation Nationale et de l’Inspection Académique des B.-du-Rh. Conçoit et développe ses projets en partenariat avec ces institutions. |
1994 Cofonde les éditions Plaine page |
1996 à 2003 - Conçoit et développe le projet Art et Handicap (Poésies vidéographiques – corps et mots) avec le CG13, la Région et la D.R.A.C. P.A.C.A auprès d'un public handicapé sensoriel (enfants, jeunes et adultes sourds et malentendants), École spécialisée, La Rosière, collège Les Caillols et association Les Caillols à Marseille
- En parallèle,
conçoit et anime des ateliers avec le Greta (Femmes isolées et jeunes en insertion professionnelle…).
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2000 à 2005 - Travaille en milieu carcéral (Maison d’arrêt de Toulon, Maison d’arrêt de Luynes avec les détenus hommes au sein d’ateliers
"Tables d’écoute" et "Paroles de papier"
Réalise un recueil sur les rapports texte-image avec les détenus de la Maison d'Arrêt de Toulon en partenariat avec les éditions Mango |
1998, créé un partenariat avec l’École Supérieure des Beaux Arts de Marseille (ESBAM, site pilote pour l’option LSF) et La Rémusade, école professionnelle pour la formation des jeunes sourds autour du projet multimédia Identités et différences. Projet favorisant l’échange des compétences entre les étudiants sourds et entendants de l’École d’Art et les jeunes sourds en formation professionnelle de la Rémusade. |
1999 à 2001 - Intervient comme poète-plasticienne en partenariat avec le CipM (Centre de Poésie International Marseille) dans des stages de sensibilisation aux poésies contemporaines à destination d'enseignants du second cycle
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2002 à 2005 - 2002 Ouvre La Quincaillerie, lieu de promotion et de diffusion des poésies et arts contemporains, à Roquefort, dans les Bouches du Rhône
- Cofonde le Festival Nouveau(x) Poète(s), rencontres autour de Germain Nouveau et des Poésies et Arts Contemporains, en partenariat avec la DRAC, la ville de Pourrières et le Conseil Général du Var (2003 à 2007)
en 2005
- Aménage son atelier dans les Friches des Anciennes Tanneries à Barjols
- Ouvre avec Éric Blanco, la Galerie Page 22, aujourd'hui la ZIP (Zone d'Intérêt Poétique), à Barjols, dans le Haut Var, espace de promotion et de diffusion des écritures contemporaines dans tous leurs états (résidences d'auteurs, festivals annuels, expositions d'arts visuels, ateliers scolaires et tout public…)
- Reçoit une bourse d’écriture du CNL (Centre national du Livre) pour son recueil Les Auditives, éditions Fidel Anthelme
- Assure la présidence de l'association Plaine Page
- 2008 Cofonde avec Éric Blanco, le festival Les Eauditives en Provence Verte,festival itinérant de poésies sonores et arts visuels, à ciel ouvert, au fil de l'eau des cascades, des rivières et des fontaines d'un territoire
- 2012 se rend à Beyrouth (Liban) sur les traces de Germain Nouveau
- 2013 établit un partenariat avec l’ÉSADTPM (École supérieure d’Art et Design Toulon Provence Méditerranée) dans le cadre du Festival les Eauditives - 2019 Renoue avec la LSF, dans le cadre de la revue GPS 11 « Poésies Sourdes » et avec les Beaux-Arts de Marseille ESADMM Pi SOURD - 2020 Le festival Les Eauditivesen est à sa 12ème édition et depuis 3 ans fait escale à Toulon et propose une récolte de fonds pour une ONG invitée chaque année |
CURSUS
- Titulaire du DNSEP ( Diplôme
National Supérieur d'Expression Plastique)
Ecole Nationale Supérieure des
Beaux-Arts, Luminy-Marseille - 1979
- Maîtrise d'Arts
Plastiques, "Les altérations de sens dans les
images textuelles"
suivie par Jean Arrouye,
Université de Provence, Aix-Marseille - 1988
- C.A.P.E.S d'Arts Plastiques - 1991
- D.U. Sciences du Langage,
option LSF (Langue des Signes Française)
Université de Provence,
Aix-Marseille - 2000
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